Concernant la Thailande seul les enfants vivants et étant scolarisés à Bangkok au lycées francais ont droit aux aides les autres sentent le paté. Comme c'est souvent le cas seul les gens de la capitales existent le reste on ne connais pas...
Mes enfants sont français comme les autres mais de seconde classe car vivant en province...
L'article parle d'expatriés fortunés ce n'est pas toujours le cas , il y a des très riches et des gens moyens comme partout. Les écoles sont chères à l'étranger et vu le pognon dilapidé dans nos écoles de métropole un coup de main peut être fait pour les enfants d'expatriés mais en rapport avec leurs revenus bien entendus.
Pour info la scolarité de mes deux enfants, un en crêche et l'autre en maternelle me coute entre 650 et 700 euros par an. C'est une somme élevée pour la Thailande on n'est loin des 17000 euros de San Francisco... mais des écoles privée en secondaire peuvent atteindre des sommes folles 400 à 500 euros par mois...
Aidons les gens qui en ont besoin ,nos enfants sont français comme les autres .
Esperons que le fils Sarkosi se mettent pas au golf cela va devenir gratuit aussi pour nous....
A DIFFUSER LARGEMENT TELLEMENT C' EST UNE HONTE !!!!!!!!!! Lorsqu'on sait que le petit Louis (dernier de Sarkozy) est scolarisé depuis septembre à Dubaï l'article s'éclaire d'un jour nouveau
> C'est intéressant.
> Pendant que Le gouvernement ratiboise les effectifs des profs, Sarkozy veut imposer une réforme géniale. Il a décidé d'offrir aux
expatriés la gratuité des écoles et lycées français de l'étranger. Un cadeau sympa, non ? Sauf qu'il va surtout profiter aux plus aisés, et que l'addition, pour l'Etat, s'annonce carabinée.
Ces écoles, très cotées étaient jusqu'à présent payantes. Certains lycées sont des établissements publics, d'autres, privés sous contrat. En tout 160 000 élèves y sont scolarisés,
dont 80 000 français. Sous la tutelle du Quai d'Orsay, chaque établissement fixe assez librement ses tarifs et ça atteint des sommets: 5 500 euros l'année à Tokyo, 6 500 à Londres, 15 000 à
New York et 17 000 euros -Le record- à San Francisco.
> Au diable l'avarice! Pour les expatriés modestes, un système de Bourses plutôt généreux est déjà en place. A New York, par
exemple, IL faut gagner moins de 65 000 euros par an -pas vraiment le smic- pour décrocher 4 500 euros d'aide. Environ un quart des élèves français bénéficient d'une bourse. Mais pour
Sarko, ce n'était pas assez. Depuis l'an dernier et à la demande express de l'Elysée, l'Etat prend en charge l'intégralité des frais de scolarité Des élèves français de
terminale... Quels que soient les revenus des parents. Plus besoin de bourse ! A la rentrée de septembre, ce sera le tour des premières, puis des secondes l'an prochain, et ainsi de
suite. " J'aurais pu commencer la gratuité par la maternelle, a expliqué Sarko,
> Le 20 juin dernier, devant la communauté française d'Athènes. Mais j'ai voulu commencer par l'année la plus chère pour que vous
puissiez constater la générosité des pouvoirs publics français." Encore merci ! Mais générosité pour qui ? A Londres, l'une des familles concernées par ce généreux cadeau déclare plus
de 2 millions d'euros de revenus annuels. Et deux autres gagnent plus d'un million. Jusqu'alors, une partie du financement était assurée par Des grandes entreprises françaises
désireuses d'attirer leurs cadres vers l'étranger. Ces boites, comme Darty ou Auchan, rentrent déjà leur chéquier : pourquoi payer les frais de leurs expat' si l'Etat régale ? Un coût
qui fait boum Au Quai d'Orsay, l'Agence française de l'enseignement à l'étranger a simulé Le coût de cette plaisanterie mais s'est bien gardé d'en publier Le résultat.
Lequel est tout de même tombé dans les palmes du "Canard". D'ici Dix ans, appliquée du lycée jusqu'au CP (sans parler de la maternelle), la gratuité coûterait à l'Etat la
bagatelle de 713 millions d'euros par an !
> Intenable ! La vraie priorité, c'est l'ouverture de nouveaux établissements, pas la gratuité. Mais pourquoi Nicolas Sarkozy
s'est lancé la dedans ? Peut-être parce qu'il se sent personnellement concerné par la question : après avoir été annoncé à New York puis à Londres, petit Louis est finalement inscrit au
lycée français de Doha... Et il va falloir payer ! Auditionné par le Sénat à la fin juin, Bernard Kouchner n'a pas nié ces menus "inconvénients". Son cabinet songe d'ailleurs à couper
la poire en deux : une gratuité partielle... mais toujours sans conditions de revenus. Sauf que, pour le moment, Sarko n'en veut pas. "Je tiens beaucoup à la gratuité", s'entête-t-il
à chaque déclaration à l'étranger. Sans prendre le temps de préciser comment sera financée cette très généreuse gratuité !
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Alain Houé 01/10/2010 19:14
TITIUDON 03/10/2010 02:01
JPSIAM 02/02/2010 10:16
TITIUDON 04/02/2010 02:50