Article du petit journal.com qui relate l'utilisation des femmes Thaïlandaises pour servir de mules et passer de la drogue d'un pays à un autre. 292 femmes sont emprisonnées dans 35 pays. Le chiffre est énorme et six d'entre elles sont condamnées à mort...
Cette mauvaise réputation porte prejudice aux femmes honnêtes qui veullent voyager . Des ambassades refusent des visas car ils voient pour certaines des femmes qui vont vendre leurs culs et pour d'autres des passeuses de drogues potentiel...heureusement la vérité est autres mais comme toujours c'est toujours la minorité qui plombe la majorité....
Entre les fausses offres d'emploi, les amoureux transits et intéréssés qui leur promettent le paradis hors de Thaïlande, les filles Thaïs sont des proies faciles pour ceux qui ont des idées tordues....
Quand à la surveillance des étrangers qui abusent des visas run cela me fait marrer vu le nombre qui n'ont que cela comme visa.......je croyais que c'était limité dans le temps?.....
La police thaïlandaise veut enrayer l’utilisation de mules pour le trafic de stupéfiants. 292 thaïlandaises croupissent dans les geôles de 35 pays. Le phénomène nuit à l’image du pays et complique l’attribution de visas pour les femmes honnêtes.
La plupart du temps manipulées par des gangs qui leur promettent du travail à l’étranger, des femmes thaïlandaises sont utilisées comme mules pour transporter des stupéfiants. L’ampleur du phénomène est tel que la police a décidé de mettre sur pied un groupe de travail spécialisé. Selon le conseiller Wuthi Liptapallop qui dirige ce groupe, en 2010, 292 thaïlandaises ont été inculpées de trafic de drogue et emprisonnées dans 35 pays. "Un nombre incroyablement élevé qui pourrait être le chiffre le plus élevé au monde," explique t-il. Six d’entre elles sont condamnées à mort dont cinq en Chine.
Les prisons du Brésil et de Taïwan en détiennent une centaine. "Les problèmes économiques et leur préférence pour les relations avec les hommes étrangers expliquent en partie leur recrutement comme mules", estime Wuthi Liptapallop cité par le Bangkok Post du 2 juin 2013. L’incarcération de ces femmes nuit à la réputation des Thaïlandais et conduit à des refus de visas pour des femmes qui souhaitent travailler à l’étranger en toute légalité.
Pour résoudre le problème, la police travaillera dans trois domaines : la prévention, la répression et l’assistance aux victimes. L'une des mesures implique l’application de la loi sur l’immigration. L'agence examinera les étrangers qui ont dépassé la durée de leur visa touristique de 60 jours en Thaïlande, et ceux qui régulièrement demandent des visas dans les pays voisins pour revenir ensuite en Thaïlande. "Certaines de ces personnes sont soupçonnés d'avoir été impliqués dans des réseaux clandestins, le trafic de drogues et d'être impliqués dans d'autres crimes", explique Wuthi Liptapallop. Pour aider les Thaïlandais à examiner la légitimité des offres d'emploi étrangers un site du ministère de l’Emploi sera mis en ligne. Enfin, pour les personnes ayant des informations sur les trafiquants de drogue étrangers, ils pourront contacter la police via un numéro d’urgence 191 ou alerter le Bureau de répression des stupéfiants au 02-5512246-7.
FP (http://www.lepetitjournal.com/bangkok) mardi 4 juin 2013
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vehent 05/06/2013 07:09
VEHENT 05/06/2013 06:13
TITIUDON 05/06/2013 06:40